lun | mar | mer | jeu | ven | sam | dim |
---|---|---|---|---|---|---|
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | |
7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 |
14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 |
21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 |
28 | 29 | 30 | 31 |
Au printemps 2003, le conte entrait au Théranga. Nous étions un petit groupe de stagiaires qui terminaient une formation de conteur. Le lieu était chaleureux, pas trop grand, idéal pour faire nos premières armes devant un public. Aujourd’hui, le Théranga est un lieu de conte reconnu avec des scènes ouvertes le dernier mercredi de chaque mois, des contées pour les Journées Mondiales du Conte à la mi-mars, la Fête Nationale du Conte le deuxième samedi de juin et des spectacles proposés régulièrement par des conteurs.
Ce premier festival « Histoires de dire », est organisé pour fêter le chemin parcouru, remercier toutes celles et tous ceux qui sont venus emplir les oreilles d’histoires, les yeux d’images et les têtes de rêves. À l’heure de la mondialisation où tout va si vite, il est bon de se poser un peu et d’écouter ce que nous disent les contes. Ils nous disent que partout dans le monde et de tous temps les hommes ont eu les mêmes questionnements, les mêmes réponses et que nous sommes tous faits de la même pâte.
Écouter un conte, dire un conte, c’est entrer dans un espace hors du temps et du lieu. C’est aller à l’essentiel qui est la vie, qu’elle soit humaine, animale ou végétale. C’est trouver ou retrouver des racines. Si le conte est arrivé jusqu’à nous, ce n’est pas sans raison. Il nous nourrit, nous donne de la force, et le conteur est là pour partager cette nourriture avec des enfants, des adolescents, des adultes.
Louise Colimard
![]() |
Consulter le planningDocument Adobe Acrobat11,4 Ko |
Un endroit différent, chaleureux, plein de surprises..