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Baïfall Dream au salon Who's next
Édition du 22-05-2011
 
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Économie

14 octobre 2006

Le business-social du studio A2S

L’artiste détient les 40 % voire les 50 % du bénéfice en plus de ses droits d’auteurs ». Pour Nabou Sangharé, une artiste qui excelle dans la musique afro-mandingue, « la démarche du studio est très novatrice en ce sens que c’est une démarche sociale qui permet de faire connaître les musiciens sénégalais et africains qui n’ont pas de moyens ».

La particularité de ce nouvel espace de promotion des musiciens sénégalais, c’est qu’elle est une création des Sénégalais basés en France, au Sénégal et en Allemagne, soucieux d’aider la musique sénégalaise à aller de l’avant.

Ces derniers se sont regroupés au sein d’une association dénommée « Association pour la promotion et la mise en valeur des services multimédias » (A2MS). Les domaines de compétence sont, outre l’enregistrement, la production, la conception musicale, l’arrangement et le visuel avec la production de clips. Ils entendent ainsi, selon le chargé des Relations extérieures, Daouda Ndiaye, « aider les musiciens sénégalais et ceux de la sous-région, qui n’ont pas les moyens d’enregistrer, de le faire grâce à notre studio high teck ».
« L’artiste qui n’a pas les moyens d’enregistrer, on met à sa disposition le studio avec un ingénieur de son très qualifié, des musiciens qui l’accompagnent », ajoute-t- il. Daouda Ndiaye explique le procédé : « L’artiste n’a qu’à s’occuper de son transport pour venir enregistrer et une fois le produit fini, s’il y a un producteur qui s’intéresse au produit, il va s’occuper de la duplication. C’est alors à l’artiste de négocier en ce moment avec le producteur à qui nous vendons le produit fini. »

Consulter le dossier de presse

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Contact :

www.a2s-studio.org



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